Sarthe : Deux nouveaux mineurs arrętés pour projet d'attentat

upday.com 8 godzin temu
Journal illustrant symboliquement les enquętes antiterroristes en France (Image symbolique - Générée par IA) Upday Stock Images

Deux nouveaux mineurs ont été interpellés et placés en garde à vue dans l'enquęte sur un projet d'attentat terroriste dans la Sarthe, selon le parquet national antiterroriste. Ces arrestations interviennent après celle d'un adolescent de 17 ans vendredi 5 septembre, suspecté d'avoir projeté des attentats jihadistes. Les deux nouveaux suspects étaient toujours en garde à vue ce mercredi.

D'après BFMTV, c'est l'exploitation des supports numériques du premier mineur, saisis lors de perquisitions, qui a permis l'identification et la localisation des deux autres suspects. Cette percée technologique illustre l'importance de l'analyse médico-légale numérique dans les enquętes antiterroristes, comme le confirme Franceinfo.

Enquęte approfondie

Le premier mineur mis en examen serait acquis aux thèses de l'État islamique, selon une source proche du dossier. Il lui est reproché d'avoir préparé une action violente sur le territoire français au nom de cette organisation terroriste. Les investigations auraient révélé qu'il recherchait différentes cibles, notamment des ambassades à Paris et le Parlement européen.

Selon Sud Ouest, le suspect aurait été blessé lors de sa tentative de fuite pendant son arrestation au domicile de ses parents au Mans. Les enquęteurs auraient saisi des preuves physiques troublantes, incluant un serment à l'État islamique, des listes d'établissements scolaires avec des calculs de volumes d'essence, et des formules de produits explosifs.

Réseau et complices

Les investigations auraient montré que le suspect recherchait également des commissariats de police, des boîtes de nuit et des établissements scolaires comme cibles potentielles. Il aurait aussi tenté de se procurer des armes et de recruter des complices pour ses projets, selon les éléments de l'enquęte.

Le suspect aurait admis la plupart des charges retenues contre lui, tout en affirmant que ses plans n'étaient pas concrets en raison de leur ampleur, d'après Sud Ouest. L'analyse de la DGSI (Direction générale de la sécurité intérieure) des éléments numériques s'avère déterminante pour identifier le réseau potentiel, selon Franceinfo.

Sources utilisées : "BFMTV", "Sud Ouest", "Franceinfo", "Le Figaro", "Liberation" Note : Cet article a été édité avec l'aide de l'Intelligence Artificielle.

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